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L'ART ET LA CULTURE POUR TOUS
11 janvier 2011

Abderrahmane Zenati: AL HOGRA ...

Dans ce livre, Abderrahmane ZENATI ose nous révéler, avec une vérité pure et dure, les origines de l'animosité entre Algériens et marocains, à Oujda. Cela peut choquer, piquer, voir irriter certains..



Photo 173.jpg

 

« éxtrait »



« … Mais oui, mon enfant ! Le droit à la mémoire devrait être un devoir que chacun doit s'imposer pour ne pas perdre sa logique et son humanité.... Le droit à la mémoire devrait être plus qu'un devoir pour éviter de se retrouver replongé dans les errements qui parfois conduisent les hommes et des systèmes à ériger d'effroyables actions qui les transforment en monstres... Tu dois savoir, mon enfant, qu'entre Marocains et Algériens à Oujda, beaucoup de faits d'une importance capitale restent ignorés. Jusqu'à nos jours, aucun historien digne de ce nom ne veut les immerger de l'ombre des oubliettes... Non, mon enfant, je ne te dis pas cela pour réanimer ou attiser la haine déjà suffocante entre les deux peuples frères, mais juste pour que tu saches... La page de l'histoire doit être écrite, lue et déchirée ensuite. Il ne faut pas faire l'autruche, mon fils ! Il ne faut pas tout ignorer, ne rien savoir sur le passé, c'est revivre les mêmes erreurs... C'est une autre façon de perpétuer le déchirement entre les peuples, mon fils... C'est surtout courir le risque de transformer une simple boutade en guerres fratricides... C'est détruire ce que la sagesse de l'Islam a édifié en plusieurs siècles... Tout cela risque d'être écroulé en quelques jours... Tu vois, mon enfant, je crois que je n'exagère pas si je t'affirme qu'il serait difficile de trouver un seul adulte marocain qui ne soit au courant des malheurs des Oujdis avec la forte colonie algérienne à Oujda, durant le protectorat français.. Tu sais, dans ma mémoire, je revois encore cette époque où les gens vivaient dans cette ville comme au Far-West... 

Presque tous les quartiers étaient peuplés d'aventuriers de souches mélangées et souvent équivoques, allant du légionnaire français devenu subitement aristocrate au bagnard tatoué algérien libéré et pas tout à fait assagi.... De l'usurier Kabyle avare qui troqua son pays, sa dignité et sa religion contre la nationalité française au berger ignorant de la banlieue oranaise se pliant en courbettes pour le sourire hypocrite des français. Du berger désespéré venu des campagnes de Sidi Bel-Abbès à l'ivrogne de Aïn Témouchente. C'est vrai, mon enfant, les gens de ma génération ont vu le génie français engendrer de grandes œuvres à Oujda et dans l'ensemble du Maroc; mais nous avons vu aussi les Oujdis subirent la flagrante injustice du protectorat français et surtout de suffocante «domination » de la forte colonie algérienne... Si, si, si... C'est une réalité, mon enfant !... La France se conduisait avec le peuple marocain, tel le loup de la fable qui portait sur sa gueule un masque d'agneau. Alors qu'elle couvait certains algériens, considérés par elle comme français à part entière, alors qu'elle dirigeait la descendance de ces derniers vers le savoir, les grandes écoles et la culture, cette même France cupide, perfide et hypocrite, élevait une «muraille de Chine » autour du Marocain, le privant ainsi de toute souveraineté et refusant à sa progéniture toute forme de connaissance. Le Marocain, mon enfant, n'avait droit qu'à l'école coranique. 
Tout ce qu'i avait appris ne dépassait pas le fait de réciter, comme un perroquet, quelques versets élémentaires du Coran. Du psittacisme. Il répétait mécaniquement de longues phrases qu'il entendait et qu'il apprenait par cœur sans y rien comprendre. Il ne pouvait ni raisonner, ni avoir présent à l'esprit le sens et les idées des mots puissants qu'il disait mécaniquement. Plusieurs magouilleurs Algériens d'Oujda, amis de la France sont devenus riches !... Immensément riches et fort instruits. Ils étaient est sont toujours fiers de cet état de fait, mon enfant... Ils se considéraient dans leur euphorie et se considèrent toujours de race et d'intelligence supérieure à leurs «frères » Marocains ! Tu dois savoir, mon enfant, qu'à cette époque, la ville d'Oujda était riche et prospère. C'était l'Eldorado de l'Afrique du Nord. Les compagnies des mines de Zinc et de Manganèse à Touissit et celles des charbonnages à Jérada recrutaient énormément de main-d'œuvre. Comme le miel attire les mouches, Oujda avait attiré toute la racaille de malfaiteurs, de criminels, de bandits, d'escrocs algériens... De tous les coins d'Algérie, les gens y affluaient pour l'embauche. Beaucoup de ceux qui vivaient dans l'adversité de la rapine chez eux, s'étaient établi à Oujda, avec la bénédiction de la France. D'autres misérables Européens venaient par centaines d'Espagne, du Portugal, d'Italie, mais le gros du lot venait de l'Algérie. Tous les aventuriers de Marnia, d'Oran, de Tiaret, de Frenda, de Mascara, de Saïda, de Tlemcen et de Sidi-Bel-Abbès avaient trouvé refuge à dans cette ville. Oujda était devenue un véritable dépotoir, mon enfant. Tous les miteux avaient trouvé refuge dans cette ville ! Des convoies traversaient toute l'Algérie, déversant à Oujda des cargaisons entières d'aventuriers, de repris de justice, de pauvres poussés par la faim, d'individus qui, en Algérie, n'avaient accumulé que des échecs... Mais il y avait des idéalistes aussi, mon enfant !... Tous débarquaient dans l'Oriental, pleins d'espoirs ; les uns rêvant de richesse et de réussite ; les autre rêvant d'un monde pur où l'humanité allait s'épanouir dans la bonté et la vertu. Oujda était devenue la plaque tournante entre l'Algérie, et le reste du Maroc. Il faut bien croire, mon enfant, que, c'est parce que la ville d'Oujda était riche, prospère, florissante et stable que des centaines d'Algériens avaient fait bâtir des résidences de rêve. De vrais châteaux, mon enfant ! D'immenses quartiers qui portent toujours leurs noms. Mais, mon petit, si la ville était riche et prospère, cette prospérité ne rejaillissait que sur les français, les Algériens et certains Fassi qui jouaient double jeu : Celui de nationaliste et celui de la France colonialiste. Oui, Oujda était aisée, mais cette aisance concernait très peu les humbles Oujdis qui continuaient à vivre dans la misère, l'ignorance et le mépris... Il faut préciser, mon enfant, que, pendant que la majorité des Oujdis vivaient dans l'indigence, « l'homme millionnaire » incarnait le rêve de tous les magouilleurs Algériens et les cupides Fassi. Alors que l'Algérien, le Fassi et le Juif possédaient les immenses fermes fertiles, les usines, les hôtels et les cinémas, pour les Oujdis de souche c'était plus que de la misère... C'était la détresse, l'humiliation, presque de la déchéance, mon enfant... 
Des centaines d'Algériens, sans scrupules ne reculaient devant rien, pour s'enrichir. Beaucoup avaient renié l'Islam et leur patriotisme. Une forme de «bourgeoisie algérienne» inculte et fermée était née dans la ville. Des noms étaient devenus et sont toujours célèbres et légendaires. La France encourageait cet état de fait. Les marocains avaient compris depuis belle lurette que les mots : « Liberté, Egalité, Fraternité » inscrites sur les bâtiments publics du protectorat français étaient chimère. Sous le slogan de sa «mission civilisatrice », la France coloniale manœuvrait tout bas la désunion et le déchirement entre marocains et algériens. Sous la devise de sa «mission protectrice », l'armée française accélérait la discorde et la haine entre les deux peuples frères... Sous prétexte d'indiquer «la bonne voie » et le «progrès », aux maghrébins, l'administration française tirait la ficelle de mille et un pantins Algériens perfides, cupides et haineux, qu'elle entretenait sur place, créant ainsi de véritables bombes à retardement pour l'avenir de l'Afrique du Nord. Le clan d'Oujda qui dirige actuellement la République Algérienne en est le meilleur exemple. L'affaire du Sahara Occidental est un autre exemple... Au fait, mon enfant, pourquoi ne parle-t-on que de « liberté » pour le « peuple » du Sahara occidental ? Où est passé le « Sahara oriental » et son peuple, sous domination algérienne? Pourquoi ne parle-t-on pas là aussi d'autodétermination ? Qu'ils parlent de tout le Sahara ou qu'ils nous fichent la paix... c'est clair... Tu sais, mon enfant, autrefois, certains colons français, avec leur politesse mielleuse et perfide, avec leur charme menteur et leur hilarité hypocrite, avaient réussi à se faire aimer eux et leur pays par les Oujdis. Ces derniers, par milliers avaient versé leur sang dans les Ardennes et à Mont Cassino, pour que vive cette France qu'ils avaient adoptée et... sincèrement aimée. Mais la France négligea d'exploiter cet élan du cœur... Elle gâcha bêtement ce témoignage d'amitié. De faux calculs, de grandes convoitises, une forme d'ingratitude et de lâcheté détournaient les responsables français du Maroc et des Marocains. Des difficultés d'ordre intérieur, de graves soucis extérieurs, empêchaient la France de raisonner et de voir clair. C'était là le début des années de haine et ce fut là pour la France le début de sa défaite en Afrique du Nord. Il faut dire les choses, comme elles sont, mon enfant.... Ce sentiment d'incompréhension fraternelle entre Algériens et Marocains, avait prit racine dans le cœur de chacun sous l'action du Service Français de l'Action Psychologique. Aujourd'hui cette bouture est devenue plus grande qu'un séquoia... Nous sommes en l'an 2004 et les frontières restent hermétiquement fermées entre les deux pays... Ce n'est pas normal ! Alors que l'Europe s'unis, les responsables des deux pays ne veulent pas dépasser les passions et instaurer la paix et le bonheur pour l'ensemble... Mais que veux-tu, mon enfant, les Algériens ne s'entendent même pas entre eux. Comment veux-tu qu'ils s'entendent avec nous ? Par expérience, les Oujdis ont appris que tout finit toujours par s'arranger, tandis qu'avec les Algériens, le pire reste le pire et se complique davantage... Tu peux me croire, mon enfant ! Le peuple marocain à trop enduré avec le caractère souvent maussade des Algériens... Lors des événements de la guerre d'Indépendance d'Algérie, nos « frères » Algériens, que Dieu leur pardonne comportaient à Oujda d'une manière navrante et intolérable !... Dans leur arrogance, ils se conduisaient avec nous, comme si, nous autres marocains, étions leurs pires ennemis... C'est vrai, ils détestaient viscéralement notre Roi et nous abhorraient à mort... Beaucoup plus que l'Armée française qu'ils combattaient... Sache que c'était presque comme le Liban... Les Moudjahiddines avaient la même conduite dans notre ville que la plus nuisible des armées d'occupation. C'était, comme un véritable Etat dans l'Etat. Certains Oujdis vous diraient qu'il n'y a pas pire oppresseur au monde qu'un Algérien. A l'époque, mon enfant, les responsables marocains ne savaient plus comment réagir. Hospitalité oblige, ils n'osaient rien dire et rien faire... Les Algériens, dans leur fougue, avaient interprété à tort cet état de fait, comme une faiblesse de la part des autorités marocaines. Alors, ils «piétinèrent » le marocain jusqu'aux larmes, jusqu'au sang. C'était affreux, mais nous n'avions aucun droit à la parole, dans notre propre pays... Beaucoup de marocains, beaucoup d'Oujdis ignorent tout sur leur ville. Ils ne savent rien sur l'époque du protectorat, sur les vexations et la suffocante Hogra commises par les Algériens. Et dire qu'à cette époque, au nom de la fraternité, les Oujdis, bras ouverts et le cœur tendre, avaient reçu sur leur terre des milliers de ces «frères» fuyant les bombes françaises qui tombaient comme de la pluie sur leur pays... Le devoir de l'hospitalité entre «musulmans » oblige, ces réfugiés algériens étaient partout à Oujda et dans le reste du Maroc, comme chez eux. Ils avaient ouvert des commerces, achetés des maisons, des fermes et des usines... Beaucoup d'entre eux avaient une conduite exemplaire, mais certains Moudjahiddines arrogants se conduisaient comme ces cow-boys que nous voyons dans les westerns américains. Armés jusqu'aux dents, ils dégainaient leur pistolet dans les bars et tiraient à la mitraillette en plein rue. Sans aucune pudeur, certains maquisards se conduisaient en terre marocaine, comme s'ils étaient dans un pays conquis... Le grand poète algérien Mouloud Mammeri avait dit un jour : 

« Quand trop de sécheresse brûle les cœurs. 
Quand la faim tord les entrailles. 
Quand on bâillonne trop de rêves,
C’est comme quand on ajoute bois sur bois sur le bûcher. 
A la fin il suffit du bout de bois d'un esclave pour faire, dans le ciel de Dieu, et dans le cœur des hommes, le plus énorme incendie »


*********

Abderrahmane Zenati expose chaque été ses ouvrages en plein air à Saïdia, la belle plage de Maroc-Oriental



ŒUVRES DÉJÀ PARUES (à tirage limité):


Les Cigognes reviendront-elles à Oujda ?
Mémoire de la Fourmi.
Vol de la Fourmi.
La Déchirure.
L’Aube des Maudits
Le retour du bigame
Marjana
La seconde épouse
La maison en face
Tamoula
Paroles de fous
Al hogra
La Vallée des Oliviers
Un Homme Simple
Paroles Étranglées
L’Homme en Colère
Adieu Oujda, ma bien-aimée
L’Homme d’Amérique
Mon ami Tchita le juif
De la Haine en Héritage
Confidences d’un âne de l’Oriental
Haffou le fou
La Malédiction d’Allah
Le Vent de l’Est s’arrête à Figuig
Un Homme Presque Parfait
Ces hommes fous de l’Oriental
Des Mots à la place du pain
Le Fou de Sarah
Le Chemin de l’Enfer
Khalti Fatna
La Vallée Oubliée
Goût de cendre
Crépuscule des Anges
Nous n’irons pas tous au Paradis
Le cri de l’agneau
Merguez et Harissa
Grain de sable
Un dimanche à Saïdia
Le mal de l’absence 

Tous ces ouvrages ne se trouvent pas dans le commerce. Pour se procurer un ou plusieurs exemplaires, contactez directement l’auteur : 

Abderrahmane Zenati
B.P. 338 Poste de Saïdia Maroc
Tel : (212) 0661829262 

Écrivez-lui et il vous adressera par e-mail les premiers chapitres d'un ouvrage que vous aimeriez découvrir : 

abderrahmanezenati@yahoo.fr 

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Commentaires
W
Salam tout Algérien digne de ce nom et gloire à nos martyres <br /> Le système de notre gouvernement est un système mafieux tout le monde le sait y compris l’opinion internationale. Il Ya principalement deux clans qui nous (peuple) tuent, le clan d’OUJDA et le clan de la promotion LACOSTE à leur tête Toufik et Touati. Mais croyez-moi le peuple veille au grain c’est une question du temps et le déclic viendra au bon moment. Ceux qui ont tués des centaines de citoyens en 1988 et ceux qui ont décimés plus de 250000 morts depuis1992 avec des milliers de disparus et enfin ceux qui ferment les yeux en participant au pillage de notre richesse que ce soit le voyou de Ouyahia, la grosse gueule Louisa Hanoune, le trabendiste Soltani bouggera, le voleur Rahmani, le vendu Saadi et autres….le peuple les jugera et l’histoire les condamnera. Quant au citoyen Lambda, vit au quotidien l’injustice au su et au vu de tout le monde. Il suffit d’aller au tribunal d’Alger un système opaque et mafieux est mis en place d’une manière stalinien depuis 2008. Jetez un œil sur les commentaires de cette vidéo vous comprendrez que les magistrats (pour ne pas dire la majorité) sans scrupules que fait notre premier magistrats Bouteflika et notre ministre Belaiz, ils ne peuvent dire qu’ils ne savaient pas car ces magistrats s’ils sont aussi corrompus c’est qu’ils sont couvert certainement par leur Hiérarchie.<br /> Faites un tour au tribunal d’Alger, le procureur principal un mafieux de premier rang n’est nullement inquiété, il dirige le tribunal d’une main de fer sans partage avec d’autre magistrats aussi corrompus que lui. Mais le vent du peuple et cette jeunesse de 18 à 30 ans a vécu la période rouge de sang donc n’a peur de rien surtout pas les sbires de DRS &cie. Chacun son tour.<br /> http://www.youtube.com/watch?v=tcPRt2qMvro
C
AlgerieNetwork Ma note est adressée aux confrères algériens qui critiquent l’Algérie dans les journaux étrangers et notamment français avec des mots de haines inimaginables ... Il Y’en a même qui ont créé des sites et des blogues voués à ce misérabilisme de haine contre l’Algérie sous couvert de liberté d’expression ou de combat contre le fanatisme … cela m'interpelle ...<br /> <br /> Je respecte les engagements pour la démocratie en Algérie et les témoignages sur la barbarie intégriste et le courage de ces hommes qui l'ont combattu ... si les critiques sont vraiment sincères et non récupérés ou récupérateurs, nous y adhérons alors pleinement, justement et sans aucune ambiguité !<br /> <br /> Ma critique ici porte UNIQUEMENT sur les mots de haines contre les fondements historiques de l'Algérie, contre son peuple et son identité millénaire ! <br /> <br /> Seulement étant cultivé dans ce qu'on appelle le pragmatisme utilitaire positiviste des Anglos saxons et non pas le savoir-dire discursive sophiste de la culture française, je met, Messieurs, à votre interrogation ces points..vous pouvez les rejeter à votre guise :<br /> <br /> 1- Mieux vaux allumer une chandelle que maudire l'obscurité<br /> <br /> A quoi sert de maudire le passé tragique de la décennie noire ... ca a une odeur de misérabilisme ...laisser aux historiens spécialisés universitaires chercheurs critiques et non pas aux médiatiques le soin de revoir scientifiquement ce qui s'est passé ... avec du recul bien sûr ! En faire un commerce est un peu impudique, misérabiliste et indigne d’une pensée généreuse qui veut calmer la douleur et non pas attiser encore plus de vengeance et de haine dont on a nullement besoin pour reconstruire un pays ... <br /> <br /> Il est plus difficile de sortir l'Algérie avec le social, le communautaire, le bénévolat qui construit des écoles... l'économie, l'éducation et la culture que de faire une critique débile hargneuse qui ne va résoudre aucun des problèmes pratiques de tous les jours de l'Algérie et des algériens confrontés à la mondialisation, la technologie, les énergies renouvelables du futur, l'agro alimentaire, trouver du travail ...enfin tout ce qui est de la vie réelle positiviste des vrais algériens ; ceux du peuple, des quartiers populaires et de l’Algérie profonde ... de ces jeunes à la recherche de formation professionnelle et d’emploi qui puissent leur rendre de la dignité humaine et de la considération sociale.<br /> <br /> les français sont des bourgeois qui ont le temps de la philosophie pour discourir sur le monde, avons-nous ce temps qui nous presse ... nous qui sommes déjà en retards sur tout pour encore et toujours perdre notre temps à discourir sur le sexe des anges ou sur qui tue qui !!!!<br /> <br /> Le vrai défi de l'Algérie est le présent et surtout le futur : le survivre !<br /> Le passé, il y'aura des juges historiens (avec le recul nécessaire), des dieux et la nature qui va s'en charger ... car on ne connait pas tout à moins d'être un sorcier manipulateur ... Doit-on indéfiniment rester dans le passé lorsque le monde moderne est completement pris dans le futur ... des expériences du CERN, du TGV et des prochains écrans tactiles ...<br /> <br /> 2- ni opposant et ni partisan ...<br /> Le défi n'est plus d'être pour ou contre ce qui s'est passé, de supporter ou combattre Bouteflika ou le FLN ..mais de comprendre la complexité sidérale du développement ...la politique, c'est fini ... il reste uniquement les questions d'Économie et de Technologie ... le savoir-dire doit laisser la place au savoir-faire ! Bine sur, on a le droit d'exprimer sa rage devant l'outrage mais lorsqu'on a une rage aux dents est-ce que cet rage peut se guerir par la science des médicaments ou la malédiction de cette rage ! <br /> <br /> je sais que c'est difficile de comprendre la chimie organique, les bosons et le champs de Higgs, les nano, les bio et les info technologies ... mais je suis désolé avec vous messieurs les journalos, c'est ceci la vraie priorité de l'Algérie et des algériens à mon humble avis :<br /> <br /> SURVIVRE ... la modernité ...<br /> <br /> le reste, on en discute assez dans tous les café algériens ... Bien sur que la mémoire de nos héros historique contre la France ou l’intégrisme est importante ... Bien au contraire, cette mémoire est trahit si on ne l'honore pas convenablement : en combattant pour la modernité pour laquelle ces hommes sont morts ... ainsi que nos chahids ...<br /> <br /> C'est ce qui fait que ne pourrais pas vous relire ... messieurs les journalos car vos sites et blogs ne me ramènent ni à moi et ni à aucun algérien et encore moins à un français quoi que ce soit d'infos, de savoir, de science, enfin de Positif ... dans sa vie réelle de tous les jours ... mais nous croyons à al liberté d,expression et à al biodiversité. Ce seront finalement les lecteurs qui décideront. Nous savons toutefois que la polémique médiatique a de l'audience . <br /> <br /> J'espère que ce post vous interpelle pour accepter une critique positive d'un compatriote algérien. C'est toujours un autre qui nous interpelle, qui corrige notre vision pour le feedback si on veut bien écouter et voir s'il y'a du sensé ...car la communication, c'est aussi cela ...<br /> <br /> Il y'a ceux qui ont aussi la haine de l'Algérie à cause d’expérience personnelle ... et en faire une affaire de vengance personnelle sur un directeur qui vous a renvoyé de votre travail ou vous a enlevé votre appartement. Là aussi, on n'a pas put dépasser notre vision personnelle car l'algérie est au dessus de l'histoire, des hommes et surtout des événements médiatiques...<br /> <br /> Le problème de l’arabisation, de l’islamisation ou de la Kabylie ou ne doivent pas être une cause pour insulter les arabes, l’islam et l’Algérie qui sont au dessus du lot … les états passent mais le pays reste ... Les arabes, l'islam et l'Algérie d'aujourdHui sont au fond de l'obscurantisme mais ils ont les ingrédients historiques pour revenir. C'est notre devoir de créer ces sociétés modernes pour nos enfants et la qeustions est : Qu'avons nous fait tous en toute âme et confiance pour notre communauté de destin en terme de savoir-faire et non de savoir-dire ...<br /> <br /> One two three viva l'Algérie et Bravos a nos héros algériens footbaleurs qui nous ont donné l'honneur et ont montré au monde la capacité du Géni Algérien en attendant enfin que les autres économistes, scientifiques, universitaires, artistes ... nous dévoilent aussi tout le génie algérien qui a déja montré sa facette dans notre diaspora ...<br /> <br /> AlgerieNetwork
L'ART ET LA CULTURE POUR TOUS
  • Parler de mes émotions face à ce monde perturbé où chaque jour un drame se joue quelque part... D'écrire ma vie à Oujda et à Saïdia où je passe mon temps entre mes pinceaux et ma plume... Parler de ma peinture et de mon écriture teintées de mes états d'âme
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